Comédiens

Comédiens

La troupe

Adrien Jean

Une enfance à Avignon et une mère abonnée à Télérama furent sa porte d’entrée dans le monde du théâtre. Après de nombreuses années à ne pas oser, il se lance en 2014 avec un premier stage à la Compagnie Maritime à Montpellier, puis au sein de cours à Paris où il découvrira ses futurs camarades de jeu de L’Estampeur. Fortement engagé dans la compagnie en tant que secrétaire, il est unanimement reconnu pour la qualité de ses comptes-rendus d’assemblées générales. Il est également très studieux et apprécie être le premier à savoir son texte. Son jeu est dense et subtil avec une belle longueur en bouche. Il se déguste à température ambiante.


Carole Le Jeune

Passionnée de déguisements et comédienne malgré elle dès l’âge de 6 ans dans les projets “cinématographiques” de ses grandes soeurs, Carole a ensuite réussi à prendre son envol “en solo” dans un lycée artistique du 13ème arrondissement de Paris. Ses études scientifiques ne l’ont éloignée qu’un temps du théâtre puisque durant 3 ans elle a l’occasion de monter plusieurs projets amateurs à Rennes puis à Paris. C’est en 2016 au sein d’un cours qu’elle rencontre ses camarades qui fonderont L’Estampeur ! Son jeu est alimenté chaque jour par son travail en politique, théâtre inépuisable d’inspirations en tous genres.


Maxime Lains

C’est par le biais d’un atelier théâtre en 6ème au collège qu’il découvre le plaisir du jeu. Inscrit dans un cours de théâtre dès l’année suivante, en 2003, il n’a plus jamais arrêté. Après être passé par différentes écoles en région parisienne puis à Paris, il découvre des camarades qui partagent cette même passion au sein de ce qui deviendra L’Estampeur. Benjamin du groupe, ses origines méditerranéennes confèrent à la troupe un statut (quasi) international.


Caroline Jeanvoine

Son 1er contact avec le théâtre ? Au collège, grâce à une prof passionnée.
Il lui aura fallu du temps pour se relancer dans l’aventure, mais elle saute le pas en 2014 en rentrant dans un cours d’où elle ne partira que pour suivre cette bande d’illuminés qui deviendra L’Estampeur. Désormais trésorière à la main de fer, et bruiteuse officielle de la troupe, elle n’a jamais peur du ridicule !


Fabien Bénattou

A force de ne pas trouver de pote pour passer la porte d’un cours pendant trois rentrées consécutives, il décide d’en pousser une et il découvre le théâtre en 2014. Il ne s’en passera plus jamais. Sa participation au festival d’Avignon à l’été 2016 lui fait comprendre la force d’une troupe et la vie en meute. En s’engageant avec L’Estampeur en 2018, il concrétise ses envies de scène, de partage et d’exploration collective.


Cécile Collon

Fascinée par la scène et par un grand-père auteur de théâtre, elle rejoint le cours Florent à la fin des années 90. Après quelques années d’interruption, le besoin de retrouver le plaisir du plateau et du travail de comédien la pousse à rechercher un cours qui se transformera en troupe. Jouer, c’est se (re)trouver, nourrir un fil conducteur entre soi et l’autre.


Florian Michaud

Après une vie d’hésitations, il pousse enfin les portes d’un cours en 2015 pour « voir ». Comprenant rapidement que cette même vie ne peut plus se résumer uniquement à des documents .pptx, .docx et .xlsx mais qu’il existe de la passion, du bruit et de la fureur, il décide de s’abandonner à ses camarades de L’Estampeur. Dans l’optique d’aller toujours un peu plus loin, il pousse à chaque nouvelle saison ses camarades à monter un spectacle de 12h où tout le monde devra mourir à la fin. A suivre…


Valérie François

C’est à travers les sorties scolaires au lycée, organisées par un enseignant passionné, que Valérie découvre le théâtre en banlieue parisienne. Cette rencontre avec le théâtre est un moment charnière de sa vie d’adolescente, et la compagnie du théâtre du Hangar à la MJC de Draveil lui donnera l’audace de tenter la scène. Depuis lors, elle participe à différents ateliers, cours, stages, créations mais c’est avec la compagnie de L’Estampeur qu’elle vit pour la première fois l’expérience d’un collectif semblable à celui rêvé dans les années 80. A noter que malgré les tentations, Valérie n’abuse pas de son statut de doyenne de la compagnie.


Matthieu J.

Sauvé de l’ennui estival et périurbain de ses 15 ans grâce à la proximité d’un vidéoclub, il devient un cinéphile brouillon et tenace, mais doit attendre encore 10 ans et une installation à Paris pour découvrir le théâtre avec une adaptation des Âmes mortes de Gogol, à la MC93 de Bobigny. Prudent de nature, il patiente encore six autres années pour intégrer un cours de théâtre puis la troupe de L’Estampeur, qui accueille avec flegme ses accès de paranoïa et son pessimisme proverbial. Organisateur de matchs de volley-ball lors des stages de la troupe.


Antoine Daval

Ses premiers pas au théâtre datent de ce projet bizarre de dernière année d’école d’ingénieurs : « expliquez l’analyse multicritère à travers une pièce théâtrale que vous écrirez et mettrez en scène ». Il a alors compris que le théâtre pouvait tout. De stages en ateliers, il a pris une place grandissante dans sa vie. Jusqu’à s’inviter chez lui dans les Vosges où il monte un tiers lieu avec… une scène de spectacle !